Quelques conseils pour faire de son voyage en Mongolie une réussite

Malgré une croissance plus ou moins timide de la popularité de la Mongolie, cette destination est encore très peu connue du grand public, notamment des touristes européens. Or, le pays possède de très nombreux attraits touristiques, notamment d’immenses steppes quasi désertiques, des yourtes uniques dans le monde entier ainsi que des populations locales très chaleureuses. Quelques conseils pour faire de son voyage en Mongolie une réussite.

La saison parfaite pour venir en Mongolie

La meilleure saison pour venir en Mongolie se situe entre le mois de juin et le mois d’août. Il s’agit de la haute saison. Durant cette période le climat est suffisamment chaud et les températures peuvent atteindre les 35 degrés en journée dans le désert de Gobi. Les soirées quant à elles peuvent être fraiches et pluvieuses. Par contre, durant la basse saison et la saison intermédiaire, les climats sont plus que rudes avec des températures qui atteignent facilement les – 25°C.
C’est aussi durant la haute saison, au mois de juillet, que se déroule la fête traditionnelle du Naadam. Il s’agit d’un grand rassemblement des populations mongoles qui viennent pour se retrouver en famille ou entre amis et pour s’amuser. Les touristes peuvent bien évidemment assister à cette fête qui dure plusieurs jours.

Le matériel à emmener avec soi

En Mongolie, le temps est très capricieux et peut considérablement varier en l’espace de quelques heures. C’est aussi un pays où les températures sont assez basses. Par conséquent, le voyageur qui décide de partir pour la Mongolie doit absolument avoir dans ses bagages des accessoires et vêtements pour se protéger du froid et de la pluie. Tous les voyageurs doivent aussi se munir d’un sac de couchage, même s’ils prévoient de dormir dans un hôtel ou dans une yourte.

La question du confort et de la nourriture

Au beau milieu du désert ou des steppes, malheureusement, les voyageurs n’auront d’autres choix que de tout faire dans la nature. Toutefois, il ne s’agit pas d’une épreuve insurmontable, bien au contraire.