Vol et retard : les bons à savoir

Malgré la publicité des compagnies aériennes, certaines n’arrivent pas à respecter l’heure. Les retards sont fréquents. Ce qui a d’ailleurs le don de mettre en colère les passagers. Voici notamment quelques bons à savoir sur le sujet.

Des pénalités

En premier lieu, sachez qu’il est du droit des passagers de demander des compensations en cas de retard de vol. Et attention, contrairement aux idées reçues et aux réponses des compagnies aériennes, même quelques minutes de retard dans le décollage ouvrent droit à des réparations.
Les pénalités à imputer à une compagnie dépendent du vol, du temps de retard et du nombre de passagers à bord. Mais des applications vous permettant de pifométrer la somme que vos pouvez espérer sont désormais disponibles en lignes. Ces mêmes programmes vous guident dans les démarches à suivre pour faire une demande d’indemnisation auprès des assurances.
Dans ces pénalités, non seulement en compte les dommages subis par les voyageurs à cause du retard, mais aussi des frais que cela incombe : repas, hôtel si tel est le cas, déplacement, etc. Bien évidemment, les pénalités en question ne s’appliquent pas quand le retard n’a rien à avoir avec les compétences et les envies de la compagnie en question. Tel est le cas par exemple de la fermeture de toutes les pistes à cause des conditions climatiques.

Certaines compagnies valent mieux que d’autres

Bien évidemment, les pénalités ne changeront rien au fait que votre programme ait été chamboulé. Raison pour laquelle trouver la bonne compagnie est de mise. Certaines en valent en effet mieux que d’autres.
Ce sont notamment les compagnies aériennes low cost qui sont le plus souvent sujet à des retards. Néanmoins, vous pouvez vous informer un peu plus sur le professionnalisme de votre compagnie en usant du Net. Non seulement sur les plateformes de l’entreprise, mais sur les forums et sites de réservations, les avis sont nombreux. De quoi vous permettre de vous faire une idée sur la qualité des prestations proposées. Comme quoi, il ne suffit pas simplement d’avoir envie de faire des économies.